J.-F. Fourcade | Livres anciens & modernes J.-F. Fourcade | Livres anciens & modernes

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23021 LITTELL (Jonathan). En pièces.
Montpellier, Fata Morgana, 2010, in-8, br., couv. rempl., 78 p. Edition originale. 1/20 exemplaires de tête numérotés sur chiffon de Montjuic.


96 €


 






23954 LO DUCA. Erotique de l'art.
P., La Jeune Parque, 1966, fort in-8, pleine reliure de l'éditeur, étui, 533 p. Importante iconographie : 783 reproductions en n&b et 24 hors-texte en couleurs. Bibliographie. Légers défauts au bas de l’étui.


45 €


 






20626 LOCOGE (Jean). Frontière des Seins. Poèmes.
Préface de Pierre Boujut. Rodez, Les Feuillets de l’Ilot, 1938, plaquette in-8, en ff., 8 p. Edition originale.


25 €


 






17992 LONDRES (Albert). Histoires des Grands Chemins.
Préface d’Edouard Helsey. P., Albin Michel, 1932, in-12, br., 320 p.


12 €


 






24617 LONNé (Raphaël Dessin médiumnique à l'encre de Chine sur papier.
Encre sur papier, signée en bas à droite. Format 25,3 x 15,5 cm. Sous encadrement. Raphaël Lonné, lors d'une séance de spiritisme en 1950 (il est alors facteur à Biscarosse) découvre de nouvelles possibilités artistiques, en griffonnant des formes animales et humaines. Il va produire quantité d'oeuvres de " poésie picturale " acquérant une renommée locale. Il devient célèbre à partir de 1971 avec ses expositions à Bordeaux, Biarritz, Dax et Paris. Par l'intermédiaire du docteur Gaston Ferdière, il rencontre Jean Dubuffet en 1963 qui lui achètera plus de 450 dessins pour sa collection d'art brut, et entretiendra une correspondance suivie avec l'artiste. Provenance : Maître Claude Robert, vente Raphaël Lonné 1971 (cachet au dos du cadre).


2000 €


 






24219 LOOTEN (Emmanuel). Sortilèges, suivi de la Légende de Godeliève.
Préface de Jacques Hébertot . Abbeville Imprimerie F. Paillart, 1948, in-8, br., 131 p. Edition originale num.


20 €


 






24220 LOOTEN (Emmanuel). Le Grenier sur l' eau.
Avant-dire d'Henri Pichette. Abbeville Imprimerie F. Paillart, 1949, in-8, br., 87 p. Edition originale num. Couv. un peu défr.


20 €


 






15926 LOOTEN (Emmanuel). Gween Fydd.
Avant-dire de Michel Tapié. Couverture de A.A. S.l., Sanderus, 1968, in-8, br., 60 p. Edition originale. Bel envoi a.s. à André Marissel.


30 €


 






21647 LORRAIN (Jean). Contes pour lire à la chandelle.
P., Mercure de France 1897, in-16, br., 175 p. Edition originale. Envoi a.s. à Ernest La Jeunesse, “ces contes d’une déjà vieille enfance, son ami Jean Lorrain”.


350 €


 






21418 LORRAIN (Jean). Histoires de masques.
Préface de Gustave Coquiot. P. Ollendorff, 1900, in-12, relié demi-basane noire, dos à 4 nerfs orné de fleurons, plats de papier “oeil de chat”, couv. cons. (reliure de l’époque), 410 p. Année de l’originale (mention d’édition). Belle couverture ill. en couleurs de Henry Bataille. De la bibliothèque Paul Reboux (étiquette rose contrecollée et signature). Quelques pages cornées, néanmoins agréable exemplaire.


100 €


 






21419 LORRAIN (Jean). Propos d’Ames simples.
P. Ollendorff, 1904, in-12, relié demi-basane noire, dos à 4 nerfs orné de fleurons, plats de papier “oeil de chat”, couv. cons. (reliure de l’époque), 310 p. Edition originale. Couverture ill. en couleurs de Sem. Envoi a.s. à Paul Reboux. Agréable exemplaire.


300 €


 






18492 LORRAIN (Jean). 11 L.A.S. ou C.A.S. à Jules Bois.
Très intéressante correspondance de Lorrain avec l’auteur du Satanisme et la magie, qui deviendra un spécialiste de l’occultisme, des sectes ésotériques, etc. D’ailleurs n’est-ce pas lui qui exorcisera Lorrain de ses mauvais rêves engendrés dans l’appartement hanté de la rue de Courty ? À propos de hantise on parle volontiers de châteaux, de manoirs ou encore de maisons hantés mais plus rarement d’appartements hantés ? Jules Bois fut également lié à Huysmans. On peut voir aussi dans ces lettres que Lorrain n’hésite pas à donner un coup de pouce à un jeune confrère en journalisme, venu de Marseille, pour forcer les portes des rédactions parisiennes… ? “Voulez-vous nous faire l’amitié à ma mère et à moi de venir dîner mercredi en Auteuil. J ’aurai quelques femmes et vous entendrez de la musique d’un de mes amis, élève de César Franck. (…) Vous verrai-je lundi dans l’atelier d’Hopkins ?… (dimanche 17 juin [1888]). Vous êtes vraiment bien gentil, mon cher Bois, mais je traversais Paris à la vapeur et j ’avais tant à faire ; mon médecin, (…) — Magnier, l’Écho, Magnier et mon notaire… Il n’est rentré rue de Courty qu’à 8 h du soir, je m’y couchais pour me décarapater mardi à 8h1/2 de façon à pouvoir rentrer dîner et coucher. Il n’a pu voir Roques mais le verra la semaine prochaine et tâchera de faire entrer Bois au Courrier français dans de bonnes condition… En attendant bon courage et merci, je vais un peu mieux mais mon médecin veut m’envoyer aux eaux, et cela m’embête. [1888] ? Il lui demande de passer à L ’Évènement pour récupérer le 1er no auquel il a participé : celui du jeudi 6 janvier 1887 dans lequel il a fait le portrait de Madame Aubernon (intitulé Comtesse d’Escarbagnas). Ce sont les Buloz de la Revue des Deux Mondes, les vrais Buloz qui affriolés par les portraits de l’Écho ont demandé à lire ce portait de début. Il est bien imprimé dans L ’Oratoire, mais je n’ai plus un seul de ces volumes. (…) J ’ai lu vos aménités à mon endroit dans vos Petites Décadences, merci — très réussi d’ailleurs, cette photographie aquarellée… Je continue à aller mieux, cet air et ces bains sulfureux me retapent, mais que ce pays est ennuyeux… rien, rien à voir, que le paysage et il n’est paysage qu’à une lieue. Pas une femme à regarder, des laideurs et la pire des laideurs, la laideur insignifiante. (…) Il souhaite rentrer à Paris… je viens d’écrire dans ce sens à Roques à la seule fin d’obtenir un [?] qui me permette de revenir me retaper à Paris. (Fécamp, 19 août [1890]). ? Le malheur est, mon cher Bois, que j ’ai quitté Paris, que je suis encore ici pour huit jours, aux eaux de Poissy, et que je traverserai Paris comme une ablette le 2 ou 3 août prochain pour aller m’échouer à Trouville ou aux Sables-d’Olonne : j ’attends une lettre qui en décidera. Il lui dit d’aller à l’Évènement… J ’ai tout lieu de croire que le Fol Edmond [Magnier] accueillera et prendra votre Lombardement ( ?) et peut-être vous commandera [d’] autres chroniques, etc. Vous serez prévenu quand je traverserai Paris et je vous promets une heure de bonne causerie… (20 juillet 1891). ? Mon cher Bois, un service, (…) voulez-vous me servir de secrétaire demain mercredi et jeudi dans la soirée, il m’arrive un gros ennui — un abcès en formation sous l’aisselle droite, aujourd’hui ça va mieux, mais demain j ’ai grand peur de ne pouvoir me servir de mon bras — et j ’ai besoin de lire mon conte demain à l’Écho (…) demain je vous dicterai mon conte… Il le félicite pour sa chronique. (22 juillet 1890) ? … je vous avais invité à déjeuner pour ce matin avec le jeune Paul Fort. Sans nouvelle de vous il faut croire que ma lettre ne vous est pas arrivée…!!! J ’ai mercredi à dîner Huysmans, Talmeyr, Tailhade et quelques amis ; si vous n’avez rien de mieux à faire, venez donc passer la soirée vers 9 heure ½ et BATAILLE / BIELYn º?12 92 priez Gabriel Mourey de venir… on ésotérismera, on larvera, etc. Un mot si oui… (10 avril 1892) ? Non, pas vendredi ; cela m’est impossible… je repasse vendredi en appel… et lundi je suis obligé de quitter Paris pour affaires, donc à mon retour je vous ferai signe pour que vous m’ameniez le Paul Fort, ne vous tracassez pas pour venir à Auteuil avant mon retour. Les songes commencent à me laisser en paix, j ’en ai encore eu un dimanche et depuis… je respire ; je vais peut-être dès que je le pourrai aller passer un mois à Marseille, cela me remettra, le soleil et le ciel bleu. Si vous voyez l’heureux Mourey rappeler lui bien que je voudrais bien aussi ma pantomime, que diable ! (9 septembre 1892). ? 1 carte sur papier bleu foncé [à Jules Bois] (particulièrement difficile à déchiffrer). Luchon, ce mercredi matin, J ’ai reçu l’Éternelle [L ’Éternelle Poupée, roman de Jules Bois, publié en 1894], merci, Vous arrangez bien les autochtones de Marseille et comme vous avez tort, ils sont si rompus au stupre si unanimement immoraux et gourmands de sensations, ce n’en sont plus des êtres humains mais des animaux à la fois apprivoisés, sauvages et corrompus… Comment je révolutionne Paris, c’est que Paris n’a rien à faire. Sarcey m’a décerné un brevet de jeunesse, joie !!! (…) Astarté me reprend j ’ai fait ici une rencontre inouïe, un Syrien, le plus gros joueur de baccarat du casino, où je ne parais jamais, grec (?) et aventurier, j ’en suis sûr très lévrier de Smyrne et auquel j ’indique dans l’ombre les portes… Tous les soirs nous soupons ensemble lui au champagne moi à l’eau de Smyrne et j ’arrive à le rendre littéralement fou ! Il ne sait plus sur quel pied danser [fin juillet 1894]. ? Merci, mon cher ami, de votre bonne lettre, elle m’arrive comme la manne dans le désert car je m’ennuie ferme et dense dans cet élégant et futile Luchon. Mon Syrien est parti, terrifié par la publication des mémoires d’Ardisson avec pour moi une belle haine flambant sourdement, je me suis gardé à carreau tout le temps et la présence de Gailhard de l’Opéra à mon hôtel et de quelques femmes galantes de lettres, comme la Saxebey, ne suffisent pas à me désenspleener l’esprit… et je suis là jusqu’au 31 août. Poor Yorick, plaignez-moi. ? Il a fini L ’Éternelle Poupée (…), c’est le milieu que j ’aime le moins. Je le trouve un peu Pandemonium et Péladanesque, cette Aglaonis me déconcerte, mais j ’ai beaucoup aimé Reine Chantil et Astarté, singulière coïncidence, cette Astarté est une figure qui m’obsède depuis quelques mois ; les fragments du Manuscrit dont vous avez aimé les (…) étaient écrits depuis deux mois déjà, ils l’avaient déjà depuis le 1er juin au Journal et la suite est la recherche menée de cette Astarté dans l’Orient personnifiée par la petite statuette noire meurtrière au sexe en tête de mort. Comme on se rencontre — (suite illisible). J ’ai réuni le bal du Courrier et le Prince Alcyon et le baron de Regulus…, chose étrange c’est vers Poissy son douloureux passé de folie et d’éther que je me sens attiré depuis le départ du haïssable et haineux Syrien (1er août 1894).  ? En toute hâte envoyez-moi les noms exacts de deux amies de Krisna et si vous pouvez tout le délicieux passage. C’est pour mon prochain Raitif, il me faudra cela demain avant midi au plus tard… [17 fév. 1895]. ? J ’allais vous écrire mon cher Bois, votre passage du berger Krisna m’est arrivé trop tard, le Raitif retardé jusqu’à hier matin venait d’être achevé et remis à la poste. Bodinier est étonnant, je cite dans un seul Raitif sa Bodiniere et il se déclare mécontent pour avoir constaté la laideur gargouillesque de son public femme, il y en avait de terribles, savez-vous, samedi, j ’en suis rentré malade, très impressionné, lisez plutôt mon Raitif et vous verrez que je suis très aimable : d’ailleurs ne suis-je pas votre ami (20 fév. 1895).


2300 €


 






21479 LOTI (Pierre). Court intermède de charme au milieu de l’horreur.
Le Havre, s.e. [Imprimerie Renouard] à Paris], 1918, in-8, broché, couv. de papier glacé rose [32 pages]. Édition originale très rare tirée à quelques exemplaires de ce tiré à part illustré de 10 reproductions photographiques. Cet article a paru d’abord dans la Revue des Deux Mondes, numéro du 15 juin 1918. Il sera repris en volume la même année dans L’Horreur allemande. Relation de la rencontre dans un village à la frontière belge entre Pierre Loti, le Roi Albert 1er et la Reine Elisabeth de Belgique. La Reine apparait sur 9 des photographies. De la Bibliothèque du docteur Lucien-Graux avec son élégant ex-libris page de garde.


150 €


 






22376 LOUIS-COMBET (Claude). Prouvost (Elizabeth). Dérives.
Photographies d’Elizabeth Prouvost. Montpellier, Fata Morgana, 2013, in-8 br., 104 p. couv. rempl. Edition originale. 1/30 ex. accompagnés d’un tirage original signé de chacune des cinq photographies du livre, sous un portefeuille séparé (30 x 23,5 cm)..


480 €


 






14431 LOUYS (Pierre). La Femme et le pantin.
Orné d’une reproduction en héliogravure du Pantin de Goya. P., Société du Mercure de France, 1898, in-8, br., 248 p. Edition originale. 1/550 ex. num. sur alfa. Billet autographe joint, 2 pages in-12, au sujet de causeries et d’un rendez-vous reporté. Bel exemplaire.


600 €


 






22977 LOUŸS (Pierre). Lêda ou La Louange des bienheureuses Ténèbres.
P., Librairie de l'Art Indépendant, 1893, in-8, brochée, 28 p. Edition originale dédiée à André Gide, tirage unique à 125 ex., celui-ci 1/100 ex. num. sur Hollande enrichi d'un envoi a.s. au professeur Louis Landouzy.


500 €


 






8474 LOWRY (Malcolm). En route vers l’ïle de Gabriola.
Trad. de Clarisse Francillon. P., Denoël, Les Lettres Nouvelles, 1972, in-8, br., 365 p. Edition originale de la trad. Bande annonce jointe.


25 €


 






7860 LOWRY (Malcolm). Ultramarine.
Trad. de Clarisse Francillon et Jean-Roger Carroy. P., Denoël, Les Lettres Nouvelles, 1965, in-8, br., 348 p. Edition originale de la trad.


25 €


 






23801 LOZERE (Tristane). Le temps du chemin.
P., Seghers, Poésie, 1950, plaq. in-12, br., couv. rempl., 36 p. Edition originale.


15 €


 


16713 LUCA (Gherasim). Mona fille des îles. LIVRE-COLLAGE.
16,5 x 13, en feuilles (15 pages), couverture illustrée, Rhodoïd. Livre unique constitué de 8 collages de Ghérasim Luca et d'une bande avec un petit collage supplémentaire avec une dédicace au crayon : Paris, le 30 septembre 82 - Pensons à toi de tout cœur. Ce petit livre unique fabriqué à partir d'un exemplaire du livre éponyme de Georges Gustave Toudouze (Paris, André Bonne éditeur, 1963) et de divers éléments chers à Luca (reproductions de tableaux de maîtres anciens) fut offert à une amie commune de Luca et de Freddy Goldstein et conservé par la veuve de ce dernier. Freddy Goldstein, poète roumain, fut le plus jeune collaborateur de la revue d’avant-garde Alge. Luca a utilisé pour les collages une reproduction du tableau d’Hans Holbein le Jeune : Les Ambassadeurs, célèbre pour contenir une des plus fameuses anamorphoses de l’histoire de la peinture.


3000 €


 






24534 LUCA (Ghérasim). THEATRE DE BOUCHE.
Paris, Criapl'e, " Les Soleils Noirs n°1 ", 1984, broché, 90 p., emboîtage de l’éditeur. Edition originale. Mise en page par François Di Dio. 9 hors-texte de Micheline Catty. Tirage à 300 exemplaires numérotés. 1/225 sur vergé ivoire accompagné d'une POINTE SèCHE originale de Micheline CATTY, justifiée et signée, ainsi que d'un ENREGISTREMENT intégral de l'oeuvre par l'auteur, sur cassette audio. Parfait état. Carton d’origine. Coupures de presse.


300 €


 






22251 LUCA (Ghérasim). Madame Molé-Reymond (d'après Vigée-Le Brun). COLLAGE ORIGINAL.
Assemblage de 1 carreau, environ 4 x 4, sur la reproduction du tableau en couverture de l'ouvrage consacré au peintre Elisabeth-Louise VIGÉE-LE BRUN dans la collection Les Peintres Illustres (Pierre Laffitte éditeur). Format de l'image 14,3 x 10,5. Sous étui ajouré de toile noire, plexiglas, pièce de titre de maroquin noir (Ateliers Devauchelle). Ce collage fait partie d'une série de 13 (qui n'ont jamais été exposés et sont pratiquement tous en mains privées). Ils sont conçus sur le principe de la cubomanie mais avec une plus grande économie de moyen (généralement un ou deux carrés collés par image) tous sur les couvertures d'ouvrages de la collection Les Peintres Illustres chez l’éditeur Pierre Laffite publiée dans les années 20. L'illustration en couverture est reproduite à l'intérieur de l'ouvrage ce qui a permis à Luca de faire ses interventions. Un certificat de Micheline Catti est joint.


3800 €


 






21873 LUCA (Ghérasim). La Clef. Poème-tract.
Paris, 1960. 1 feuillet imprimé recto verso 43,5 x 28 cm plié au format 11 x 28 cm. Edition originale. Parfait état.


250 €


 






20083 LUCA (Ghérasim). Le Chant de la Carpe.
P., Le Soleil Noir, 1973, in-12, br., 107 p. Edition originale. S.P. sur Offset sirène comportant un envoi a.s. à Bernard Delvaille accompagné d'un dessin original au crayon, spirale en pointillé.


300 €


 


16887 LUCA (Ghérasim). CATTI (Micheline). Droit de regard sur les idées.
P., Brunidor, 1967, in-4, en feuilles, couverture rempliée, non paginé. Edition originale. 1/55 ex. num. sur grand vélin d’Arches (seul tirage en grand papier), comportant deux pointes-sèches originales de Micheline CATTI. Signature de l’auteur et de l’artiste au colophon.


450 €


 

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